Burj Al Arab aussi haut que la Tour Eiffel
Comme Léonardo DiCaprio tenant Kate Winslet sur le pont du Titanic et s’écriant « Je suis le maître du monde », je m’élançais du haut de cette grande voile et répétait la scène. J’étais sur le toit du monde et rien ne pouvait m’arriver. Comme un bateau amarré sur cette côte artificielle, le Burj Al Arab détache sa voile dans le ciel de Jumeirah. Du haut de ses 321 mètres et dessiné par Tom Wright, l’hôtel m’invite à gouter au paradis.
A la tombée de la nuit, l’océan s’illumine de mille et une couleurs. L’arrivée au Burj Al Arab offre un avant goût du luxe. L’espace est immense. 202 suites décorées par Khuan Chew et l’hospitalité des Etats Arabes est confirmée. Rolls Royce, hélicoptère et personnel aux petits soins, mes rêves peuvent devenir réalité.